Quartz
| Développeur : N/A | Graphismes : |
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| Éditeur : Firebird | Sons et musiques : |
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| Année : 1989 | Difficulté : |
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| Genre : Tir | Durée de vie : |
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| Nombre de joueurs : 1 | Note : |
5/10 | |
Personne n’est allergique aux couleurs primaires ?
Quartz est un jeu de tir à défilement d’écran octo-directionnel, et « libre », au moins dans une première phase. Vous abattez des grosses boules colorées (les hadrons) pour libérer des petites boules colorées (les quarks), que vous flinguez aussi, ce qui génère des bidules à collecter (les neutrinos). Une fois amassé suffisamment, on vous transporte dans un niveau plus traditionnel, où le défilement d’écran suit un axe, tantôt horizontal, tantôt vertical, et dans un sens ou dans l’autre.
Bien que les effets visuels (animations, parallaxes) se montrent techniquement impressionnants, je trouve l’esthétique générale criarde et peu inspirée. Le fait de mentionner Andy Warhol au dos de la boîte du jeu n’excuse rien.
La vitesse d’exécution est plus qu’honorable, mais bien sûr, cela ne s’est pas fait sans concessions : pas de paysage élaboré en arrière-plan et un champ de vision réduit. En outre, le rythme est cassé par une interruption agaçante à chaque fois que l’on acquiert ou qu’on utilise un bonus.
Une idée originale : la barre d’énergie du vaisseau se reconstitue lentement si l’on arrive à ne pas prendre de dégât pendant un certain laps de temps.
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