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Mega Man, le petit robot bleu, est apparu pour la première fois sur NES en 1987, dans un jeu de plates-formes du même nom édité par Capcom.
Le principe se veut simple et efficace : sauter, tirer, gravir des échelles, et se frayer un chemin dans un monde peuplé de machines, jusqu’à une base secrète, défendue par l’un des six « maîtres-robots ». Il s’agit alors de le vaincre
en combat singulier pour s’approprier son arme…
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Il y a six niveaux dans Mega Man (huit dans les épisodes suivants), tous accessibles depuis le début, et autant de maîtres-robots, chacun sensible à l’arme d’un autre. La subtilité est donc de rendre visite à chacun d’eux dans un ordre précis afin de les battre sans difficulté.
Quand tous les généraux de Wily sont anéantis (et leurs armes acquises), on entre dans la phase finale : poursuivre le savant fou à l’intérieur de son laboratoire. C’est un complexe immense où l’on retrouve tous les ennemis du jeu, y compris les maîtres-robots. Le duel final oppose Mega Man à Wily, et éternellement, ce dernier parviendra à s’échapper, ouvrant la voie à un énième épisode (n+1-ième si vous voulez).
Ce jeu novateur a connu un succès énorme, si bien que de très nombreuses suites ont vu le jour sur presque toutes les plates-formes de l’époque.
À partir de 1993, de nouvelles séries dérivées ont été lancées à intervalles réguliers, afin de raviver l’intérêt des joueurs pour un concept un tantinet vieillissant et surexploité…
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Notez que de nouvelles franchises sont sorties depuis (ZX, Star Force…) mais j’ai décroché autour de 2004. Je n’ai pas aimé les dernières directions prises par la série (les errements dans la 3D, la scénarisation et les modes de jeux alambiqués). En deux mots : je vieillis !
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