Amnios
| Développeur : Flying Chicken | Graphismes : |
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| Éditeur : Psygnosis | Sons et musiques : |
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| Année : 1991 | Difficulté : |
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| Genre : Tir | Durée de vie : |
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| Nombre de joueurs : 1 | Note : |
5/10 | |
J’adore les illustrations de ce jeu-là, typiques de la SF des années 70/80, elles me rappellent les vignettes Malabar (Les Monstres de l’espace). Chacun ses références, hein.
Si j’ai bien compris, ce shoot’em up multidirectionnel vu de dessus vous confronte à une planète entière. Le sol est tapissé d’organes frétillants (dégueux), des bouches, des yeux, des tentacules… Votre job est de survoler la zone et de bombarder tout ce qui dépasse.
Le système d’amélioration des armes est pour le moins bizarre : on récupère de l’ADN enfermé dans des bulles pour ensuite le placer dans une couveuse (l’espèce de piscine gonflable volante dans la troisième image). Quelques instants plus tard, l’ADN se change en bonus (à ramasser). On trouve aussi des humanoïdes en détresse, représentés par des… femmes à poil qui dansent, qu’il convient de larguer dans la piscine gonflable de la même façon, je crois.
Finalement, l’action confuse et répétitive, l’animation saccadée (rançon du défilement d’écran sur quatre directions) ont eu raison de ma curiosité.
Si la généalogie vous intéresse, on pourrait lui désigner comme ancêtre un certain Sinistar (arcade, 1982). Quant à la descendance : Voidrun (2019).
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