Cadaver
| Développeur : The Bitmap Brothers | Graphismes : |
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| Éditeur : Image Works | Sons et musiques : |
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| Année : 1990 | Difficulté : |
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| Genre : Réflexion-jeu de rôle | Durée de vie : |
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| Nombre de joueurs : 1 | Note : |
8/10 | |
Un jeu d’exploration de donjon en 3D isométrique, semblable à Knight Lore (ZX Spectrum, 1984), développé par Ultimate Play the Game, ancien nom de la société Rare.
Karadoc est un nain mercenaire, conforme à la mythologie tolkienienne : violent, rustre et par-dessus tout, cupide ! Quand un groupe d’humains lui raconte l’histoire du château Wulf, ancienne demeure royale, aujourd’hui abandonnée, perdue au milieu d’un sinistre marécage, et par ailleurs théâtre de deux sanglants massacres, orchestrés par le nécromancien Dianos ; il se rend immédiatement sur place, en quête d’éventuels trésors. Mais le maître des lieux n’entend pas le laisser sortir vivant. Il a parsemé son chemin de monstres affamés, ainsi que d’une foultitude de pièges en tout genre…
On reconnaît la patte des Bitmap Brothers : des graphismes léchés, une atmosphère originale, et comme souvent, une maniabilité passablement lourde. Personnellement, je trouve la représentation à la première personne (Dungeon Master) plus immersive et dynamique. Il faut dire que Cadaver est axé davantage sur la résolution d’énigmes que sur les combats. Mieux vaut faire preuve de patience, aimer se perdre, fouiller partout et tripoter des leviers. Je préfère pulvériser des crânes à coups de massue, pour ma part.
Une extension est sortie l’année d’après, comprenant quatre niveaux supplémentaires et intitulée Cadaver: The Pay Off.
Et dans le même genre, moderne, vous avez Tunic (2022).
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