Starglider 2
| Développeur : Argonaut Software | Graphismes : |
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| Éditeur : Rainbird | Sons et musiques : |
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| Année : 1988 | Difficulté : |
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| Genre : Tir | Durée de vie : |
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| Nombre de joueurs : 1 | Note : |
8/10 | |
Forts du succès de Starglider, les jeunes programmeurs d’Argonaut ont continué à perfectionner leur moteur 3D, en troquant le style « fils de fer » par des polygones à « surface pleine ». Le joueur évolue désormais librement dans un véritable monde ouvert, étendu à tout un système solaire, sans aucun temps de chargement !
Le vaisseau est très simple à manier, et je trouve l’interface bien plus intuitive que celle d’autres représentants du genre, tels Frontier ou Warhead. La difficulté tient à comprendre ce qu’il faut faire, ce qui a toujours été un critère secondaire pour moi, après la capacité à explorer et à détruire mon environnement ! Je vous rappelle que j’ai attendu cinq ans avant de m’enquérir de ma mission, dans Hunter.
Du peu que j’ai compris (sans avoir lu la seconde nouvelle), il faut détruire une base spatiale secrète avant que ses occupants n’achèvent l’assemblage d’une arme, capable d’anéantir votre planète natale… Tiens, la source d’inspiration n’a pas changé de direction.
Il y a bien sûr plein de choses sur lesquelles essayer vos armes dans l’abandon le plus total : des bâtiments, des trucs qui tournent, des vaisseaux pirates, des… cétacés volants ? Et vous êtes équipé d’un « rayon tracteur » pour récupérer l’éventuelle cargaison, abandonnée par vos victimes, et la troquer, plus tard, contre de nouvelles armes. Cette composante « aventure », en liberté, dans un vaste système, enrichit considérablement le champ d’action, en comparaison des mécaniques assez basique de Starglider, premier du nom.
Anecdote étonnante : la même disquette du jeu fonctionnait sur Amiga et Atari ST. Un cas unique à ma connaissance.
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