Pink Panther
Développeur : reLINE | Graphismes : |
| |
Éditeur : Magic Bytes | Sons et musiques : |
| |
Année : 1988 | Difficulté : |
| |
Genre : Syntagme nominal | Durée de vie : |
| |
Nombre de joueurs : 1 | Note : |
3/10 | |
Aidez la Panthère rose à cambrioler de vastes manoirs sans éveiller les soupçons de ses habitants somnambules.
Vous évoluez sur deux plans, à la manière de Premiere, et employez différents stratagèmes pour influencer la marche du dormeur, similairement à Sleepwalker et Brat.
Par exemple, le tintement de votre clochette (bouton du joystick + « haut », cela ne semble pas marcher tout le temps) fera tourner votre hôte. Il passera ainsi du premier au second plan. Inversement, la pichenette (bouton du joystick + direction opposée à sa marche) le renverra au premier plan, et/ou lui fera opérer un demi-tour (je n’ai pas compris sous quelle condition). Si un obstacle se dresse en travers de son chemin, servez-vous de vos accessoires gonflables tels qu’un trampoline ou une planche inclinée. Vous disposez également d’un trou noir de cartoon à coller sur le sol, dans le cas où votre némésis, l’inspecteur Clouseau, se lancerait à votre chasse…
Les premières minutes sont confuses, car vous devez réaliser les actions attendues sans perdre une seule seconde et sans droit à l’erreur. À force de dizaines d’essais infructueux, vous finissez par avancer de quelques mètres, avant d’échouer de nouveau, et de tout recommencer. La confusion cède à la frustration, qui cèdera à l’ennui le plus total après que vous aurez succombé à la tentation de consulter une solution. Ironiquement, la panthère rose elle-même, s’assoupit progressivement. Vous y remédiez en actionnant un réveille-matin, à distance suffisante du somnambule, ce qui implique de le laisser sans surveillance quelques instants.
J’oubliais une dernière chose évidente, mais que le jeu n’explique pas : la panthère ne peut pas franchir certains secteurs, c’est pourquoi il existe des portes en arrière-plan qui vous mèneront de l’autre côté. Comment emprunter ces portes ? Pas la moindre idée ! Équipé d’un manuel et d’une solution, je demeure trop bête pour faire fonctionner une poignée de porte.
Quant à la quatrième image… Pas compris non plus. Serait-ce la scène de fin du jeu, accessible sur pression d’un bouton, à partir du premier écran ? Une farce des programmeurs ? Mazette, pas moins de sept programmeurs semblent avoir été impliqués !
|