Oxyd
Développeur : Dongleware | Graphismes : |
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Éditeur : Dongleware | Sons et musiques : |
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Année : 1992 | Difficulté : |
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Genre : Réflexion | Durée de vie : |
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Nombre de joueurs : 2 par modem | Note : |
7/10 | |
L’adaptation d’un classique sur Atari ST, la synthèse de plusieurs jeux de réflexion comme Deflektor, Bombuzal, Sokoban, avec une pincée de Memory ; le tout mélangé à un jeu d’adresse semblable à Marble Madness (c’est la partie « adresse » mon problème !).
En clair, vous contrôlez une bille à l’aide de la souris, et votre tâche consiste à « activer » par paires des blocs désignés (les Oxyds) en les touchant l’un après l’autre. Évidemment, les niveaux sont remplis de mécanismes, d’interrupteurs, de trous et de bombes, réunis dans des casse-tête visant à contrarier vos plans.
Les tableaux se montrent diversifiés, et inspirés (au nombre de cent, plus cent autres en mode deux joueurs simultanés, qui nécessitait deux Amiga reliés par un câble réseau). Certains tableaux s’étendent d’ailleurs sur plusieurs écrans (sans défilement).
Une autre particularité d’Oxyd réside dans son mode de commercialisation, appelé Dongleware par le développeur : les disquettes étaient distribuées gratuitement ; c’est le livre de codes de 170 pages, indispensable pour débloquer la voie à partir du niveau 11, pour lequel il fallait s’acquitter de la somme de 39 dollars. Rassurez-vous, ce jeu a été cracké comme les autres et fonctionne désormais tel quel sur émulateur.
Note : Après sa suite, Oxyd Magnum! (1993), un freeware du nom d’Enigma a été développé par un fan en 2002 sur PC/Mac. Il comprend plus d’un millier de tableaux, un éditeur, et se voit encore mis à jour régulièrement (en 2013).
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