Système : NES | Graphismes : |
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Éditeur : Capcom | Sons et musiques : |
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Année : 1993 | Difficulté : |
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Genre : Action/plates-formes | Note : |
8/10 |
Tout commence par un tournoi bon enfant, sponsorisé par un certain « Mr. X », rassemblant les plus puissants robots (oh tiens, ils sont huit). La séquence d’introduction ne précise pas s’il s’agit d’un concours de beauté ou d’un tournoi de Scrabble.
Mr. X, qui prétend être un rival de Wily, prend le contrôle des joyeux drilles, Mega Man intervient, on s’aperçoit que X est en réalité Wily, il se fait battre une fois de plus et s’enfuit. Ah non, cette fois, il est jeté en prison !
Je ne sais pas si le scénario a été primé aux Oscars, mais cet épisode me paraît réussi.
D’abord, pas de passage sur un jet-ski. C’est une satisfaction.
Ensuite, les mécaniques de jeu sont enrichies par l’emploi de deux armures, pourvue par notre ami Rush, le chien-robot-trampoline-sous-marin-skate-volant, et maintenant, dealer d’armes. Brave bête ! Je ne trouve à critiquer que cette animation énervante, à chaque fois que l’on endosse lesdites armures.
Ordre proposé :
Wind Man > Flame Man > Blizzard Man > Plant Man > Tomahawk Man > Yamato Man > Knight Man > Centaur Man
Dans le premier niveau (Wind Man), certains bonus mineurs (pile d’énergie, vie) seront inaccessibles. Si cela vous dérange (et si vous vous croyez bon), commencez par Flame Man !
Tomahawk Man a beau être sensible à l’arme de Plant Man, je vous conseille d’employer le mega-buster.
Les quatre maîtres-robots que j’ai soulignés disposent de deux entrées menant à leur repaire. Choisissez toujours la plus difficile à atteindre. La victoire vous octroiera une lettre. Une fois réunies les quatre lettres (qui composent son nom), vous pourrez faire appel à Beat, le piaf.
Au retour à l’écran de sélection des niveaux, des vignettes apparaissent en lieu et place des portraits des ennemis vaincus : une case vide (noire) signifie qu’il y a encore quelque chose à trouver dans ce niveau. Au contraire, une tête de Mega Man ou une icône marque son entière résolution (plus rien à chiquer, quoi).
On avait dit « pouce » quand je prends des photos !