Windwir, siège de l’ordre Androfancine, dépositaire des connaissances scientifiques et culturelles des hommes, n’est plus qu’un immense champ de cendres. Il semble qu’une arme ancienne ait été utilisée, issue d’une technologie interdite, que les Androfancines eux-mêmes étaient seuls censés préserver et cacher au monde extérieur. Les souverains des royaumes voisins s’émeuvent et cherchent à comprendre qui a fait cela et pourquoi. Une chose est sûre, les alliances politiques voleront en éclat. La guerre est inévitable…
Nous suivons le destin d’un petit nombre de factions touchées de près ou de loin par ce cataclysme. Les uns cherchant à aider, à comprendre et à reconstruire ; les autres, à tirer profit de la situation. Au milieu de tout cela : une douzaine de robots, seuls survivants de la cité détruite, témoins précieux et, accessoirement, dernières reliques d’une technologie disparue qui suscite bien des convoitises…
Jeux de pouvoir, factions rivales, chapitres centrés alternativement sur un protagoniste, on pense au Trône de fer. La petite différence, c’est que les personnages n’inspirent aucune sympathie et on se désintéresse vite de ce qui leur arrive.
Il en ressort un roman mélangeant fantaisie, science-fiction, politique et religion. Barbant.
|