Pegasus
| Développeur : Optimus | Graphismes : |
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| Éditeur : Gremlin | Sons et musiques : |
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| Année : 1991 | Difficulté : |
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| Genre : Tir/plates-formes | Durée de vie : |
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| Nombre de joueurs : 1 | Note : |
5/10 | |
Volez vers la victoire contre les hordes de Satan. Pas mieux.
C’est un jeu de tir plutôt agréable visuellement, et maniable… et ennuyeux. L’absence de musique y contribue beaucoup, comme peut-être le manque d’inspiration dans la construction des niveaux.
Vous dirigez Persée, chevauchant Pégase, le cheval ailé, jetant des boules de feu ou des dagues sur des escadrilles de créatures démoniaques, flanquées de petites teignes volantes trouvant toujours moyen de passer entre vos tirs…
Les ennemis abattus laissent parfois des cristaux à collecter puis à échanger contre de nouvelles armes (touche « Espace » quand l’icône change, en bas à gauche de l’écran). Un autre bonus vous gratifie d’attaques chargées, en maintenant le bouton appuyé (nombre d’utilisations limité).
Un niveau sur deux, Persée descend de son canasson et dégaine son épée, pour un intermède plates-formes/action semblable à Rastan (arcade, 1987). Ces séquences me paraissent insipides et hautement répétitives, en dépit, encore une fois, d’une maniabilité au poil, ce qui est assez rare pour être signalé. J’aime bien l’animation du héros, d’ailleurs, dont la cape virevolte à chaque mouvement.
Pegasus compte 50 niveaux qui sentent fort le recyclage (mêmes ennemis, mêmes arrière-plans). Heureusement, des mots de passe sont fournis, mais j’aurais préféré un jeu moins long et plus varié, et soutenu par une bande-son stimulante.
Le petit cheval dans le mauvais temps,
Qu’il avait donc du couraaageuh…
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