Parasol Stars:

The Story Of Rainbow Islands 2

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Développeur : N/AGraphismes :
Éditeur : OceanSons et musiques :
Année : 1992Difficulté :
Genre : Plates-formesDurée de vie :
Nombre de joueurs : 2 simultanésNote : 7/10


Il était une fois, un petit garçon joufflu qui se promenait dans la forêt en sautillant. Dans sa main, dodelinait une ombrelle multicolore. Il faisait beau, les oiseaux chantaient, les abeilles butinaient et des poneys volaient dans le ciel.

« Bonjour petit ! » lança une voix nasillarde.
Le garçon tourna la tête, et vit la créature la plus étonnante et mignonne qui soit : un éléphant rose vêtu d’une couche-culotte.

« Tu aimes les films sur les gladiateurs ? s’enquit l’éléphant, avant de remarquer l’objet brandi de façon menaçante par le gamin. Que fais-tu ?
— Régulation de population » rétorqua l’enfant, en lui assenant un violent coup de parapluie dans la figure.
L’animal s’effondra lourdement et se mit en boule en gémissant. Éric, c’est le nom du petit garçon, se jeta sur lui et continua à le frapper sauvagement, en criant :
« Respecte mon autorité ! »

Au bout d’un moment, il ne cognait plus qu’un tas d’os humides, alors il s’interrompit. Et dans un nuage de fumée, l’éléphant mort se transforma en esquimau au chocolat !

L’adorable chérubin ramassa la glace en riant ; c’est alors qu’il aperçut, non loin, un morse en smoking bleu. Il partit joyeusement à sa rencontre en faisant tournoyer son ombrelle multicolore…


Cette suite de Rainbow Islands ressemble davantage à Bubble Bobble, à cause de ses petits tableaux fermés et de ses bonus reconnaissables (les fameuses bulles qui libèrent des torrents d’eau, des éclairs ou des flammes). On retrouve également quelques têtes connues dans le bestiaire.

Offrir un parapluie en guise d’arme, chouette idée, d’autant que son maniement se révèle assez technique. On peut s’en servir comme parachute, façon Mary Poppins, ou pour s’abriter des projectiles, ou encore pour propulser toute sorte d’objets, des ennemis et même notre malheureux compère en mode deux joueurs ! Cet aspect coopératif doit apporter un peu de sel. Moi j’y ai joué tout seul, c’était d’un ennui absolu…

En outre, la musique horripilante (celle du boss me fait penser à la Lambada) couplée au souvenir de Mary Poppins, maintenant, suscite chez moi l’envie irrésistible de martyriser des petits animaux.

« Oh, la mignone tortue ! »

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Où le télécharger ?
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