The New Zealand Story
| Développeur : Taito | Graphismes : |
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| Éditeur : Ocean | Sons et musiques : |
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| Année : 1989 | Difficulté : |
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| Genre : Plates-formes | Durée de vie : |
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| Nombre de joueurs : 1 | Note : |
5/10 | |
Il y a des jeux qui, au premier coup d’œil, vous vissent à votre chaise et vous donnent envie d’y jouer toute la nuit. Peu importe s’ils ont l’âge de votre grand-mère, ou s’ils sont tellement durs que vous ne fassiez que répéter le niveau 1 en boucle. C’est presque magique. À croire qu’ils mettent des additifs dedans ou bien des messages subliminaux, je ne sais pas.
The New Zealand Story fait clairement partie de cette catégorie. À première vue simplissime, on se surprend à prendre un pied d’enfer sur ce petit jeu d’arcade qui fourmille de détails et d’animations rigolotes.
Bien qu’extrêmement difficile, il n’en demeure pas moins rapide, maniable et… plein de bidules de toutes les couleurs ! C’est tout ce qu’on demande !
Au risque de me répéter : préférez la version d’origine (arcade) à la conversion.
Et puis ce n’est pas un poulet, c’est un kiwi !
Mise à jour :
Comme pour Alfred Chicken, j’ai eu mon épiphanie lorsque j’y ai rejoué (en 2022), mais cette fois, dans l’autre sens. En dépit d’une première impression engageante, impossible d’aller bien loin sans brancher le mode « vies infinies ». Chose faite, et j’ai tout de même beaucoup souffert. La musique ; unique, stridente, insupportable ; les ennemis qui nous harcèlent sans répit, les piquants, les décors laids à faire sauter les dents, la limite de temps oppressante… Je ne lui trouve aucune qualité rédemptrice. À me demander si j’étais sobre le jour où j’ai rédigé cette page !
La version NES s’intitule Kiwi Kraze (1988).
Et pour les amateurs : MagiCat (2017).
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