Jaguar XJ220
| Développeur : Core | Graphismes : |
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| Éditeur : Core | Sons et musiques : |
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| Année : 1992 | Difficulté : |
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| Genre : Course | Durée de vie : |
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| Nombre de joueurs : 2 simultanés | Note : |
7/10 | |
Lui, ça faisait plus de dix ans qu’il était sur ma liste des jeux « à mettre en priorité », pour deux bonnes raisons : la première, c’est qu’il est très difficile à faire marcher sur émulateur (disquettes virtuelles corrompues, je pense), et deuxièmement, parce que je n’ai aucune patience avec les trucs qui ne marchent pas. Retour tiroir !
Cet aprèm, je devais être particulièrement désœuvré. Après une heure de tâtonnements, j’ai finalement trouvé une solution que je vous livre tout de suite.
Téléchargez les fichiers suivants :
« Jaguar XJ-220 (1992)(Core Design)(M4)[cr SKR](Disk 1 of 2)[a2].adf »
« Jaguar XJ-220 (1992)(Core Design)(M4)[cr SKR][a](Disk 2 of 2)(Data Disk).adf »
Démarrez l’émulateur en mode « Quickstart », « Amiga 500 1.2 ROM + 512 SLOW RAM » (avec les deux lecteurs, pour une fois qu’ils sont pris en compte).
Quand, en cours de jeu, l’écran « File Requester » apparaît, cliquez sur « Exit ».
Maintenant, rentrons dans le gras. Vous pilotez une… Jaguar XJ220 (figurez-vous) et concourrez face à des Porsche, Bugatti, Ferrari, Lamborghini et Chevrolet (Corvette) sur 36 circuits répartis dans douze pays. Ça, vous voyez, c’est pas un jeu de pauvre.
Les trois premières courses ont lieu en Angleterre et vous sont imposées. Ensuite, vous déciderez de votre prochaine destination, non sans vous acquitter d’un droit d’entrée. Eh oui, le pognon est partout : vous payez pour participer, vous payez pour réparer, et quand le robinet ne coule plus : game over. C’est amusant, finir tout le temps dernier ne pose aucun problème, du moment que vous êtes en mesure de financer votre incompétence.
Par rapport à d’autres jeux du genre, les collisions ne font pas perdre tellement de vitesse. Attention tout de même à ne pas faucher trop de panneaux, car vous devrez dépenser tout ou partie de vos gains, en fin de course, pour remplacer les pièces endommagées. L’idée est intéressante, malgré cela, je me serais aussi bien contenté d’une voiture indestructible, je ne sais pas vous ? Une voiture indestructible qui ne ferait jamais le plein.
Graphiquement, je trouve ce titre assez banal, même si les décors ont le mérite de se renouveler et de s’accommoder d’effets météo sympathiques. Je n’aime pas beaucoup la modélisation de la voiture, dont on ne distingue que l’arrière, d’ailleurs (pas ma face préférée d’une Jaguar).
Concernant la finition (du jeu), deux gros plus : la possibilité offerte de sauvegarder et la présence d’un éditeur de niveaux ! Deux petits moins, mais discutables : la monotonie des tracés et les arrêts imposés pour se ravitailler en carburant (serait-ce là une manière de nous pousser à réfléchir vers une stratégie de course ? Haha ! Non, j’ai pas envie).
Tout bien considéré, je préfère Lotus Turbo Challenge 2. Je trouve la course aux checkpoints en temps limité plus excitante que répéter des tours de circuits.
En 1993, Jaguar XJ220 s’est vu porté sur Mega CD (Sega Mega Drive). Je n’ai examiné cette version qu’en vidéo. Elle me paraît plus belle (le cul de la bagnole, au moins).
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