Elf
| Développeur : Nirvana | Graphismes : |
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| Éditeur : Ocean | Sons et musiques : |
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| Année : 1991 | Difficulté : |
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| Genre : Plates-formes | Durée de vie : |
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| Nombre de joueurs : 1 | Note : |
6/10 | |
C’est l’histoire (sans précédent) d’un elfe, en route pour sauver sa copine, enlevée par un méchant démon-sorcier pas beau…
Ce jeu de plates-formes à l’ancienne, sans défilement d’écran et relativement maniable, vous envoie fourrager aux quatre coins d’une vaste contrée, cueillir des fleurs, ramasser toutes sortes de trucs, et exterminer une faune hétéroclite en jetant des boules de feu partout.
Devant des décors très chargés (ce qui n’est pas une tare à mes yeux), surgissent de chaque côté de l’écran, des flots intarissables de bestioles. Mais il ne s’agit pas de tirer sur tout ce qui bouge, l’épilogue récompense d’ailleurs votre attention à épargner les créatures « mignonnes » (non hostiles).
De plus, une part importante est laissée à l’exploration, puisque vous allez et venez librement et dans toutes les directions (quelquefois même, en empruntant des passages dans la profondeur de champ). Les mondes sont si vastes qu’il est conseillé de dessiner des cartes sur papier.
Une touche que j’ai bien aimée : quand vous mourez, une pierre tombale émerge du sol, d’où s’échappe parfois votre fantôme, qui ne manque pas de vous attaquer.
Enfin, à la manière des jeux Dizzy, vous rencontrez une galerie de personnages excentriques, avec qui troquer des objets pour ouvrir de nouvelles routes. Des boutiques sont également présentes, dans lesquelles acheter des sorts pour améliorer vos capacités tout au long du jeu.
Bons points pour les trois fins différentes, l’option pour sauvegarder et la prise en charge du second lecteur de disquettes. En revanche, toujours ce choix imposé entre musique et effets sonores…
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