Crystal Kingdom Dizzy
Développeur : Synergy | Graphismes : |
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Éditeur : Codemasters | Sons et musiques : |
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Année : 1993 | Difficulté : |
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Genre : Aventure/plates-formes | Durée de vie : |
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Nombre de joueurs : 1 | Note : |
7/10 | |
Dizzy numéro 7 ou un peu plus de la même chose.
Sans apporter beaucoup de sang neuf à la série, ils ont tout de même amélioré certains détails, au premier rang desquels, cette inertie incontrôlable après un saut, enfin éradiquée ! Un effort a aussi été fait en direction des dialogues (humoristiques et un peu décalés). Ils ont même essayé de diversifier les fonds musicaux, noble intention, mais je préfère encore l’attente téléphonique de la sécu.
L’histoire est partagée en quatre chapitres indépendants. C’est l’occasion de voyager, de voir de nouveaux décors et surtout de mettre en place un système de mots de passe, par l’intermédiaire d’un Game Genie (référence à ce célèbre accessoire permettant de tricher sur les consoles et commercialisé par Codemasters).
Enfin, parmi d’autres surprises, on annonce CJ l’éléphant en guest star !
Ça me fait mal de l’écrire, mais après avoir commencé par le plus atroce, Treasure Island Dizzy, qui me donne encore des sueurs froides, j’ai pu voir, jeu après jeu, les défauts rédhibitoires gommés, et en dépit de toute ma mauvaise volonté, j’ai glissé lentement du stade de la tolérance craintive à celui de fan conquis. Je n’aurais certainement jamais acheté aucun de ces jeux au prix fort, mais sur émulateur, avec la sauvegarde rapide, c’est le genre de petit passe-temps simple et attrayant, parfait pour se mettre de bonne humeur avant d’aller au boulot (ou après). Pensez seulement à couper la musique pour ne pas finir à l’asile (dans les options, il est possible de la remplacer par les effets sonores, moi je suggère d’arracher les enceintes et de les réduire en miettes à coups de pied).
Le jeu est long à charger. Comme dit l’autre : attendez plus longtemps.
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