Ambermoon
Développeur : Thalion | Graphismes : |
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Éditeur : Thalion | Sons et musiques : |
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Année : 1993 | Difficulté : |
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Genre : Jeu de rôle | Durée de vie : |
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Nombre de joueurs : 1 | Note : |
8/10 | |
Vous êtes le petit-fils du héros d’Amberstar. Ce dernier, sur son lit de mort, vous confie une quête.
« Bla bla bla, coffre, bla bla bla, épée magique, bla bla bla bla pucelle en détresse… »
Vous avez saisi.
Ainsi, l’aventure démarre dans la chambre du vieux.
La première chose que j’ai essayée, comme tout le monde, je crois, c’est de me suicider dans la cheminée. Ça marche, super ! J’ai ensuite été me balader dans la cave… sans prendre de torche (oh, c’est tout noir). Oui, mon dernier jeu de rôle s’appelait Barbarian, okay ?
Un peu plus tard, je dus m’avouer vaincu au terme d’un duel épique avec une araignée géante, armé seulement de mon courage et d’un couteau à beurre, chouré dans la cuisine (et que j’avais oublié d’équiper, bon ça va !).
Ambermoon s’éloigne assez peu de son aîné, donc je vous renvoie à la page d’Amberstar pour les détails.
Signalons tout de même qu’il exploite toujours deux modes de représentation : une vue de dessus en 2D pour les grands espaces et les petites salles (avec une animation très saccadée), et des phases d’exploration de donjons en 3D texturée, impressionnantes, car on peut faire pivoter la caméra sur 180°. Cela dit, on n’en demandait peut-être pas tant. Le système précédent, moins tape-à-l’œil, avait au moins le mérite d’être ergonomique et rapide…
En conclusion, Ambermoon se montre agréable à jouer et prenant, à condition, bien sûr, de comprendre l’anglais ou l’allemand.
Le jeu est un petit peu long à installer (neuf disquettes donc disque dur obligatoire) mais la procédure est automatique et, une fois terminée, on est bien content de pouvoir profiter d’un beau jeu sans interruptions ni temps de chargement.
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