S’il fallait résumer l’histoire en deux mots je dirais… quarante-deux. C’était facile.
Alors, Arthur Dent pourrait être considéré comme l’anglais moyen. Il est discret, il boit du thé, il ne dérange personne. Jusqu’à ce qu’une série d’évènements vienne bouleverser sa vie bien réglée…
Tout commence un beau matin, quand un bulldozer sonne à sa porte. Sa maison se situe sur la trajectoire d’une autoroute en construction. « Vous aviez tout le temps de contester la décision », lui dit-on. « Les papiers étaient affichés dans le patelin d’à côté. » C’était vrai, au fond d’une cave sans lumière… Bon.
Arrive Ford Prefect, un vieil ami d’Arthur. Il le trouve allongé devant le bulldozer et le persuade non sans mal de prendre un verre avec lui au pub, il a une mauvaise nouvelle à lui annoncer.
Deux nouvelles, en fait. La première, c’est que Ford n’est pas né sur Terre. C’est un journaliste pour un guide touristique galactique. La seconde ? Il vient d’apprendre que les Vogons ont décidé de construire une autoroute galactique. Et devinez quelle planète doit être démolie incessamment pour laisser place au chantier ?
Enfin, ce n’est pas comme si l’on ne vous avait pas prévenus. Les papiers étaient affichés sur Alpha du Centaure et vous n’êtes même pas venu les chercher…
Et c’est ainsi que Ford entraîne Arthur à bord du vaisseau Vogon. Le dernier survivant de la Terre connaîtra toutes sortes d’aventures, fera connaissance avec des personnages déjantés, comme le président de la galaxie, un robot dépressif, sa fille venue du futur, ou du passé, je ne sais plus…
Un certain nombre de questions métaphysiques majeures trouvent leurs réponses dans ces livres, qui sont les adaptations d’une série radio. Ils en ont même fait un film, dont le scénario a été fortement remanié mais que j’aime beaucoup (dont j’aime beaucoup la première moitié, pour être honnête).
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Zaphod Beeblebrox, mon idole !
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