Prime Mover
| Développeur : Interactivision | Graphismes : |
 | |
| Éditeur : Psygnosis | Sons et musiques : |
| |
| Année : 1993 | Difficulté : |
 | |
| Genre : Course | Durée de vie : |
 | |
| Nombre de joueurs : 1 | Note : |
6/10 | |
Le jeu d’arcade le plus réaliste et le plus fluide, destiné aux accros du patinage.
Pardon, j’ai commis une erreur. Barrez « réaliste ».
C’est amusant de constater la disparité des notes parmi les différentes critiques dans la presse vidéoludique (de 22/100 à 93/100 en passant pratiquement par tous les échelons intermédiaires) ; les uns louant la qualité du graphisme et la fluidité de l’animation, les autres s’agaçant de la prise en main délicate. Le point de friction, si l’on peut dire, se situe dans la conduite « glissante ». La force centrifuge qui déporte la moto dans les virages se trouve en effet plus prononcée qu’à l’accoutumée, contraignant le joueur à rétrograder à chaque virage. De ce fait, la sensation d’adhérence est inexistante.
Personnellement, je m’y suis habitué (non sans avoir branché la boîte de vitesses automatique), et je maudirais en premier lieu ces panneaux qui empiètent sur la chaussée…
Le jeu nous laisse le choix entre cinq motos, mais je n’ai senti aucune différence sinon cosmétique.
À part cela, les courses se ressemblent toutes, les concurrents se comportent comme des fantômes (dénués de « personnalité » élaborée comme on aurait pu l’attendre en 1993) si bien que je me suis ennuyé rapidement.
« GG, on your bike! » comme qui dirait.
|
