Fantasy World Dizzy
| Développeur : Optimus | Graphismes : |
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| Éditeur : Codemasters | Sons et musiques : |
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| Année : 1991 | Difficulté : |
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| Genre : Aventure/plates-formes | Durée de vie : |
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| Nombre de joueurs : 1 | Note : |
6/10 | |
Sortez vos tubes d’aspirine et éteignez vos enceintes : Dizzy est de retour !
Dans cette suite de Treasure Island Dizzy, notre « ami » ovoïde est aux prises avec un roi démoniaque, un crocodile, des dragons, un troll et tout un tas de torches brulantes, tous en ligue pour l’empêcher de libérer sa m’œuf : Daisy, kidnappée parce-que-c’est-une-gentille et on ne va pas s’étendre davantage sur le scénario.
Nous faisons également la connaissance avec le reste de la communauté des jaunes d’œuf (yolkfolk) : Denzil, Dylan, Dozy et Grand Dizzy, qui déclineront tous poliment quand vous viendrez leur demander un coup de main ! À croire que votre copine n’était pas la fille la plus populaire du village…
Bref, la bonne nouvelle, c’est que les développeurs, dans leur immense mansuétude, vous ont accordé trois vies, ce qui rend le jeu un tout petit peu moins difficile que son prédécesseur ; mais ne vous y trompez-pas, dans trois heures, on vous retrouvera en train de vous frapper la tête à coups de marteau au milieu des restes de votre clavier…
Au fond, le concept n’a pas varié d’un iota : vous ramassez des objets pour les utiliser aux bons endroits afin de débloquer la route jusqu’à la prochaine énigme (ce faisant, vous devez choisir lesquels trimballer avec vous, dans votre inventaire deux places). Il y a bien sûr toujours des pièces à collectionner, au nombre de 30 (par bonheur, une carte est fournie à la fin !).
Un mot sur l’inventaire quand même, vu qu’ils se sont fatigués à l’améliorer. Celui-ci nous permet désormais de choisir quel objet jeter lorsqu’il est plein, et il y a quelque part un sac à trouver pour faire passer le nombre d’objets transportables de deux à quatre.
Pour conclure, si vous aimez les jeux niais et frustrants, remplis d’énigmes tordues, il faut reconnaître que, dans ce genre-là, c’est le gratin…
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