The Killing Game Show
Développeur : Raising Hell | Graphismes : |
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Éditeur : Psygnosis | Sons et musiques : |
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Année : 1990 | Difficulté : |
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Genre : Tir/plates-formes | Durée de vie : |
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Nombre de joueurs : 1 | Note : |
5/10 | |
Une variation futuriste des jeux du cirque, dans laquelle des criminels sont envoyés de force dans des arènes sophistiquées et remplies de pièges mortels. L’enjeu : sauver leur peau, recouvrer leur liberté, et surtout, divertir des millions de téléspectateurs.
Vous êtes le dernier candidat en date. On vous a mis aux commandes d’un robot bipède surarmé (semblable à l’ED209 de Robocop, en plus agile), et donné pour objectif d’atteindre le sommet d’un échafaudage le plus rapidement possible, en envoyant la fumée sur tout ce qui se dressera en travers de votre route.
Les niveaux sont contruits en hauteur et en partie immergés par un lac toxique (on ne sait pas ce que c’est mais en tout cas, le moindre contact avec sa surface est fatal). Pour corser les choses, le parcours est semé d’embûches (mines, barrières électriques…) et surveillé par des escadrilles de petits vaisseaux kamikazes. Dernier détail : le niveau de liquide s’élève lentement si bien qu’il sera de plus en plus risqué de revenir en arrière (si vous laissez un bonus, ou pire, une clé derrière vous).
La difficulté est diabolique et le timing très serré. Heureusement, le jeu intègre une innovation intéressante : le replay qui vous permettra de visionner votre dernier essai et de reprendre les manettes au moment voulu, ce qui évite de devoir recommencer du début à chaque fois.
Malgré son originalité, The Killing Game Show se révèle très répétitif. C’est un jeu exigeant, réservé aux plus obstinés. Fans de Nebulus, foncez !
Notez que le titre a été porté sur Mega Drive en 1991 (renommé pour l’occasion Fatal Rewind). Et si une déclinaison moderne vous intéresse, je vous propose : RIVE (PC, 2016).
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